19 janvier 2018 : Réunion au chantier du Guip à Brest : Nous avons accompagné l’équipe de l’Association du Nouveau Pourquoi pas ? ( Quentin Schmeltzer, Alain-Marie Gautier, Jeff Wagner, Jean-Yves Delaune & Julien Reemers). Il s’agissait d’une réunion de travail très importante, décisive quelque part, pour continuer dans nos démarches avec l’équipe de direction du chantier du Guip (Yann Mauffret, Louis & Tegwen ses fils ). Cette rencontre a été d’une très grande qualité et a permis à tous ceux présents, dans un climat de convivialité bien « marine », d’être efficaces et très concrets, plans et iconographie sous les yeux. Nous avons bien avancé.
Le Chantier du Guipest d’ors et déjà notre partenaire pour la construction du nouveau Pourquoi pas ?, nous pouvons donc l’acter et le dire de manière officielle quand on nous posera la question. Yann Mauffret, le patron du chantier nous a donné son accord. D’ici trois mois, le Guip nous fournira un estimatif du chantier le plus complet possible, en partant sur les hypothèses suivantes : continuité du chantier sur un espace de temps fixé à cinq ans. et une implantation de la construction du bateau à Saint-Malo, lieu d’origine des explorations conduites par Jean-Baptiste Charcot.
La répartition des modalités techniques (répartition de la charge de la construction entre les deux sites) seront à préciser. Tout va être conduit avec intelligence, question de crédibilité pour les partenaires majeurs qui vont être sollicités et de qualité pour la construction.
…. Parallèlement un premier dossier de présentation du projet sera mis au point avec le concours d’ETEM. Nous avons prévu de nous revoir fin avril, début mai, lors de la prochaine escale du Shtandart, à Saint-Malo. Nous nous retrouverons tous à son bord.
Belle rencontre et belle journée, partagées par des personnes enthousiasmées par la pertinence de ce projet et sa dimension malouine et universelle tout à la fois.
bonjour à tous.
Le texte est clair, ce qui est dit sur le chantier est vrai et reçoit mon accord.
. Actuellement en stage au chantier naval de la Passagère, où pourrait être construit le bateau, Quentin Schmeltzer nourrit son projet de reconstruction du mythiq
